EXPLOREZ L'UNIVERS SINGULIER DE STÉPHANE KORB, PHOTO-REPORTER ET ARTISTE . 

Jimi Hendrix experience, affiche fille qui mousse, Mouloudji, Disque de Francis Lemarque,Dakar,Peinture 1970, Carla Bley, Stephane Korb et le parapluie

Earth Wind and Fire, Dizzy Gillespie,Iggy Pop, Frank Zappa, Ivry Gitlis, James Brown, Berry Gordy et Steve Wonder.

Stand de tir à New York, un zéro à Tokyo, Malcom Forbes et sa collection d’œufs impériaux de Fabergé, Ile Maurice, Docteur Maréchal, Australie, Alice Cooper, Gorille, Usine textile, Vic Hislop pêche pour Damien Hirst, Helène et sa lionne, Daniel Baremboim, David Stein, Inuits, Clint Eastwood, Antoine Riboud, Mstislav Rostropovitch et Jérôme Seydoux à Moscou, While Island Nouvelle zélande.

Stephane Korb et Superman, Guitare forme stratocaster, Dromadaire Australie, CPeinure Chine, Peinture Les indiens, Peinture Jimi Hendrix, Peinture Ile Maurice.

J'avais un appareil 24x36 et je fréquentais un groupe d'amis du show business. Nous sommes allés à l'Olympia, où se produisait Jimi Hendrix Experience. À cette même époque, mon père m'avait demandé de prendre des photos, et l'une d'entre elles a été choisie pour la pochette d'un de ses disques. C'est ainsi que mon goût pour la photographie argentique a pris naissance.

J'éprouvais un intense désir d'échanges et de découvertes. J'ai travaillé comme assistant ingénieur du son au mythique Studio Davout.  J'ai rencontré Henry Jean Enu, qui venait de créer le journal "Le Parapluie", et le groupe "Fille qui mousse", dans lequel j'ai joué de la basse électrique. Nous avons donné plusieurs concerts comme le relate Serge Loupien dans son livre "La France Underground". Après un séjour au Canada, je me suis fait engager aux croisières Paquet et quelques années plus tard, je sympathiserais avec Jérôme Seydoux, pour qui j'allais travailler longtemps.

J’ai commencé à photographier les musiciens dans les salles parisiennes telles que Campagne Première, le New Morning, le Palais des glaces, Le Palace; le Bataclan et les concerts KCP. La première personne qui a vraiment regardé mon travail a été Philippe Koechlin et de temps en temps il me publiait dans Rock et Folk. Mon désir de changement était plus fort. J’allais voir Chris Marker, toujours bienveillant il me dit d’aller voir Marc Riboud et j’ai été son assistant jusqu’en 1986.

Ensuite, ce fut de manière plus occasionnelle car je me consacrais à des reportages à New York  ou en Australie et, aux début des années 2000, à la peinture en utilisant des techniques artistiques qui fusionnent l'acrylique, l'huile, l'encre et le report d'image par procédé artisanal de sérigraphie.

 

Nous avons besoin de votre consentement pour charger les traductions

Nous utilisons un service tiers pour traduire le contenu du site web qui peut collecter des données sur votre activité. Veuillez prendre connaissance des détails et accepter le service pour visualiser les traductions.